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Le présidente de l’Association internationale d’information sur la dépigmentation artificielle (AIIDA), la professeure Fatoumata Ly en consultation dans son cabinet à l’Institut d'Hygiene Sociale Polyclinik. Elle plaide pour l’interdiction de la vente des produits cosmétiques de depigmentation afin d’éradiquer le phénomène croissant de ’’la dépigmentation cosmétique volontaire (DCV)’’ notée au Sénégal. Le Khessal (éclaircir en wolof) est une pratique dangereuse pour la santé mais très répandue en Afrique de l’Ouest où les femmes sont considérées plus attractives quand elles ont la peau claire.
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- ©Sylvain Cherkaoui pour Jeune Afrique
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