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20/11/2014. Nzerekore. Guinee Conakry.
Coordinateur urgence à NZerekore.
Avec l’épidémie du virus Ebola on est face à une problématique grave.
En juin MSF a sollicité Alima, mais c’était trop tôt pour nous. Nous devions préparer nos équipes.
À la sortie de l’été l’épidémie augmentait de façon significative, Alima n’avait plus le choix.
Les 6 ONG africaines de la plateforme du Sahel ont répondu présent, ils se forment et apprennent comment faire face à cette épidémie. Elle peut atteindre leur propre pays.
On a fait une mission d’évaluation afin de connaitre les zones les plus affectées qui manquaient de prise en charge.
On a d’abord cherché autour de Conakry, mais les besoins en Guinée forestière sont plus élevés, seul MSF était là.
Le choix était fait, on a fait les démarches pour obtenir les autorisations du gouvernement. Pendant qu’on montait le projet, on a mis en place un sytème d’appui pour ce qui était déja`en train de faire. On a rehabilité le centre de transit de Nzerekore, et fait passer le nombre d’ambulances de 1 à 4.
On offre un appui aux alertes et on a doublé le nombre d’hygiénistes.
Ce défi offre de nombreuses difficultés:
C’est une maladie mal connue par Alima, il y a beaucoup de contraintes et on ne peut pas baisser la garde.
On travaille 24h/j pour monter le CTE.
On a eu du mal a former le personnel, MSF étaient es seuls à pouvoir le faire, il y avait un goulot d’étranglement, ils étaient très sollicités.
Il ya une amélioration car une formation théorique s’est ouverte en Europe.
Il y a encore beaucoup de questions:
Comment traiter les cas qui peuvent apparaitre au sain de l’équipe, aussi bien les nationaux que les expatriés.
Comment gérer les différents essais thérapeutiques contre la maladie?
« C’est une sale maladie, car el rogne ton humanité. » Aucun contact physique, on travaille dans une tenue de protection qui te rend inhumain.
Il faut calculer,
Coordinateur urgence à NZerekore.
Avec l’épidémie du virus Ebola on est face à une problématique grave.
En juin MSF a sollicité Alima, mais c’était trop tôt pour nous. Nous devions préparer nos équipes.
À la sortie de l’été l’épidémie augmentait de façon significative, Alima n’avait plus le choix.
Les 6 ONG africaines de la plateforme du Sahel ont répondu présent, ils se forment et apprennent comment faire face à cette épidémie. Elle peut atteindre leur propre pays.
On a fait une mission d’évaluation afin de connaitre les zones les plus affectées qui manquaient de prise en charge.
On a d’abord cherché autour de Conakry, mais les besoins en Guinée forestière sont plus élevés, seul MSF était là.
Le choix était fait, on a fait les démarches pour obtenir les autorisations du gouvernement. Pendant qu’on montait le projet, on a mis en place un sytème d’appui pour ce qui était déja`en train de faire. On a rehabilité le centre de transit de Nzerekore, et fait passer le nombre d’ambulances de 1 à 4.
On offre un appui aux alertes et on a doublé le nombre d’hygiénistes.
Ce défi offre de nombreuses difficultés:
C’est une maladie mal connue par Alima, il y a beaucoup de contraintes et on ne peut pas baisser la garde.
On travaille 24h/j pour monter le CTE.
On a eu du mal a former le personnel, MSF étaient es seuls à pouvoir le faire, il y avait un goulot d’étranglement, ils étaient très sollicités.
Il ya une amélioration car une formation théorique s’est ouverte en Europe.
Il y a encore beaucoup de questions:
Comment traiter les cas qui peuvent apparaitre au sain de l’équipe, aussi bien les nationaux que les expatriés.
Comment gérer les différents essais thérapeutiques contre la maladie?
« C’est une sale maladie, car el rogne ton humanité. » Aucun contact physique, on travaille dans une tenue de protection qui te rend inhumain.
Il faut calculer,
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